Les choses ont continué à empirer
Même si Anne a déjà subi de nombreuses pertes personnelles, l’année 1687 s’est déroulée comme un cauchemar sans précédent. Après la perte de leurs filles en bas âge, Anne et George naviguent dans un océan de chagrin au sein de leur opulent palais. Mais l’angoisse est loin d’être terminée.
Vers la fin de l’année, Anne subit une nouvelle naissance d’un enfant mort-né, ce qui amplifie le poids de ses luttes maternelles et émotionnelles. Comme si le destin se réjouissait de sa cruelle plaisanterie, la belle-mère d’Anne, Marie de Modène, annonça une nouvelle grossesse, jetant une ombre sur les espoirs d’Anne d’avoir une ligne de succession stable.
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